BMW Z4 2.5i
Une ligne au sex-appeal dévastateur ! Mais la Z4 première mouture, c’est bien plus qu’un style avenant : le châssis assez réussi s’accommode fort bien de ce 6 cylindres en ligne de 2,5 litres, délivrant 192 chevaux. Le feulement grisant est moins sourd qu’avec la version 3 litres, mais il semble plus naturel. Et quelle vitalité à hauts régimes !
Mercedes SLK 280
Certains diront qu’il s’agit d’une voiture de garçon coiffeur ! C’est qu’ils n’ont probablement jamais pris le volant de cette version ! Sans avoir le coffre de la version 350, cette 280 offre un V6 de 3 litres de 231 chevaux, tous assez volontaires. La sonorité sportive devient envoûtante avec le Pack Sport. A choisir de préférence avec la boîte automatique.
Audi TT 3.2
Bon, admettons-le tout de go, ce n’est pas avec un 6 cylindres que la TT est la plus convaincante. Plus lourd sur le train avant, il rend l’ensemble moins agile sur itinéraire sinueux. Mais l’adhérence est assurée, grâce aux 4 roues motrices ! Peu démonstratif, le V6 chante juste, avec des intonations travaillées en charge.
Alfa Romeo Spider 3.2 JTS
Ici encore, les amateurs de petites sportives agiles devront passer leur chemin : le V6 alourdit un train avant qui n’avait pas vraiment besoin de ça… Moins démonstratif que le véritable V6 Alfa, ce moteur (ex-Holden) apporte souplesse, une sonorité rauque et, avec lui, une transmission intégrale. Agréable pour la balade, coude à la portière, en dépit des 260 chevaux de la fiche technique.
Porsche Boxster
Contre 15.000 €, vous devriez trouver un modèle d’une douzaine d’années et approchant les 100.000 km. Un ticket d’entrée alléchant pour accéder au mythe Porsche, avec ce que cela sous-entend en terme d’équilibre, de caractère moteur et de feulement métallique. La version « S » (3,2 litres et 252 chevaux) apporte le couple qui manque un peu au 2.7 litres.