Une décision qui intervient alors que les taxis parisiens se sont mobilisés contre ce qu’ils qualifient de "dérive" du secteur des véhicules de transport avec chauffeur, dont le groupe américain Uber est l’un des principaux acteurs. La décision de justice est liée à la communication de la société vis-à-vis de ses chauffeurs, qui, selon l’UNT, entretenait une "ambiguïté" quant à la possibilité de stationner sur la voie publique en attente d’un client sans réservation préalable.

La manifestation des taximen parisiens s’est déroulée en même temps que la grève des contrôleurs aériens, générant, une fois encore, de nombreux désagréments pour les voyageurs et touristes, et plombant, encore un peu plus, la réputation de plus en plus sulfureuse de la France.