Selon le communiqué, « les automobilistes disent être naturellement plus enclins à déléguer la conduite à un véhicule autonome, lors de petits déplacements quotidiens ou encore sur autoroute. » Et via la conduite autonome, le conducteur peut donc utiliser son temps de manière plus constructive, en commençant à travailler, en consultant les médias en ligne ou, plus simplement, en se relaxant tout en écoutant de la musique.

C’est au conducteur que revient le choix de basculer ou non, en mode autonome. Une fois ce dernier engagé, « le volant s’escamote, le siège s’incline et un large écran émerge du tableau de bord, autorisant alors le conducteur à s’adonner à l’activité de son choix. » Trois modes sont par ailleurs au programme : Conduite, Création, Détente.

Assumer les conséquences de la conduite autonome

Volvo croit vraiment au projet de véhicule autonome. Le Suédois a par ailleurs annoncé « le déploiement en 2017 d’une flotte de véhicules autonomes dans des conditions quotidiennes de circulation sur les routes de Göteborg, en Suède ». Il rajoute par ailleurs que selon lui, « le constructeur doit assumer l’entière responsabilité des réactions du véhicule lorsque le mode conduite autonome est activé. »