Alfa Romeo 156 2.5 V6
Qui dit V6, dit Alfa Romeo. Et nous ne parlons pas du V6 dérivé d’un moteur Holden et proposé par la marque sur ses 159 et Brera ; mais bien du vrai V6, le « Busso », qui a démarré sa carrière en 1979 sur l’Alfa 90. D’une cylindrée de 2,5 litres, il délivre ici 192 chevaux dans une sonorité cristalline ! Une tuerie !
Citroën Xantia Activa V6
C’était Citroën au meilleur de sa forme : un V6 de 3 litres pour la puissance (194 ch), une finition tendue de cuir et de bois, ainsi qu’une suspension hydraulique revisitée pour offrir un comportement routier hors pair, dénué de tout roulis. Certes, le confort était un peu sacrifié, mais la Xantia devint alors, la reine de la route !
Renault Vel Satis 3.5 V6
Non, pas grand-monde n’a compris ce modèle. Bien des clients potentiels furent rebutés par l’esthétique trop originale de la chose. Pourtant, à l’intérieur, c’est Versailles ! Très spacieuse, cette voiture affichait un confort de très haut niveau. Le V6 de 3,5 litres de 245 ch se marie comme un gant à cette voiture !
Jaguar X-Type
Mal aimée car basée sur une plateforme de Ford Mondeo, la Jaguar X-Type a pourtant connu un beau succès au sein de notre Royaume. Sous le capot, en essence, Jaguar ne proposait que des V6 de 2 à 3 litres et délivrant de 156 à 231 ch. Evitez le moteur de base, trop faible en couple et uniquement accouplé à la traction avant.
Rover 75
Non, ce n’était sans doute pas la voiture la plus dynamique du moment. Mais ici, le V6 revêt un autre visage : celui du confort, particulièrement ouaté d’ailleurs, sur cette berline anglaise. Disponible en deux cylindrées (2 l et 2,5 l), ce moteur délivrait 150 ou 177 ch. Bon à savoir pour les plus sportifs, ce modèle a existé sous la marque MG (ZT) et le V6 pouvait alors atteindre jusqu’à 185 ch.