Région Wallonne

En Wallonie, tant la taxe de circulation que la taxe de mise en circulation seront revisitées. Les critères choisis pour déterminer le montant de la taxe sont les suivants : sa masse, sa puissance et son niveau de pollution. La région wallonne rassure en expliquant que le montant perçu sera globalement inchangé : si les véhicules les moins performants d’un point de vue énergétiques seront plus lourdement taxés, les véhicules les plus propres seront moins pénalisés qu’aujourd’hui.

Région de Bruxelles-Capitale

A Bruxelles, il semble que la voie de la taxe intelligente (variant en fonction de l’utilisation et des performances énergétiques du véhicule) soit toujours d’application. Mais après son annonce fracassante, la ministre de la mobilité Elke Van den Brandt se concertera dans un premier temps avec les deux autres régions.

Région Flamande

En Flandre, en revanche, il n’est pas question de taxe intelligente, l’idée ayant été rejetée. En revanche, la taxe évoluera pour se baser sur les nouvelles normes d’émissions (WLTP). Ces dernières sont plus réalistes et engendreraient donc, une fiscalité plus sévère pour les véhicules plus polluants.