Après les 5 secrets des Citroën 2 CV, Fiat Nuova 500, Mini classique, VW Golf , Porsche 911, Ferrari 250 GTO, Mercedes 300 SL, Lamborghini Countach, Range Rover, Renault 4, Ferrari Testarossa, McLaren F1, Citroën DS, Jaguar Type E, Volkswagen Coccinelle, Willys MB, Citroën Traction, Peugeot 205, Renault 5, Lada Niva, Mercedes 190, Fiat Panda, Renault 4CV, Volvo 240, BMW M1, Ford T, Alfa Romeo Giulietta, Peugeot 203, Mazda MX-5, Renault Espace, Ford Fiesta, Renault Dauphine, MGB, la Peugeot 404 et la De Tomaso Pantera continuons notre série en nous penchant cette fois sur 5 « secrets » d’une autre icône automobile : la Citroën BX !
1. Une naissance dans un contexte difficile…
Au début des années 80, Citroën vit des moments difficiles. Le rachat par Peugeot impose une grande rationalité, ce qui n’est pas dans les habitudes des ingénieurs, habitués aux projets délirants… Le résultat, c’est cette berline, la BX, qui succède à la GSA. Si elle reprend des mécaniques Peugeot, la BX séduit néanmoins les amateurs de la marque aux chevrons avec sa suspension hydropneumatique et sa ligne futuriste.
2. Le même papa que la Lamborghini Countach !
Oui, vous avez bien lu ! Pour le style, Citroën s’est tourné vers Bertone qui a lancé un certain Marcello Gandini sur le projet. Gandini, c’est le père d’une longue lignée de Lamborghini (Countach, Espada, Diablo, Miura…), mais aussi de la Lancia Stratos et de la De Tomaso Pantera ! Excusez du peu…
3. Une incroyable carrière
L’âge moyen d’un modèle automobile ? 7 ans. La carrière de la BX ? 11 ans ! Avec plus de 2,3 millions d’exemplaires, la BX peut aisément être qualifiée de succès pour Citroën !
4. Une cote toujours en hausse !
Certes, ce sont principalement les versions sportives qui sont recherchées aujourd’hui, comme les Sport, GT et autres GTI. Le fin du fin, pour les collectionneurs, c’est la GTI 16, au moteur 16 soupapes de 160 chevaux ! Comptez près de 10.000 euros pour un exemplaire en superbe état ! Toutefois, même les versions de base commencent à intéresser certains nostalgiques.
5. Groupe B
Aussi surprenant que cela puisse paraître, Citroën a réellement envisagé une carrière en compétition au plus haut niveau pour sa BX, à savoir dans la fameuse division « Groupe B » avec la BX4 TC ! Sauf que la voiture était un bricolage hâtif, peu fiable et trop peu performant.