Gros stand pour Toyota, qui débarque à Bruxelles avec 20 voitures. Il y en a pour tous les goûts : de la puce de ville Aygo X à essence (développée en Belgique…) à l’étonnante Mirai, qui boit de l’hydrogène et la transforme en électricité, pour ne cracher que de la vapeur d’eau. Par contre, la toute nouvelle Prius ne sera pas exposée : elle ne sera commercialisée qu’au printemps, en hybride plug-in uniquement.

Toyota commercialise aussi deux coupés sportifs propulsions à essence : la Supra (qui partage sa base et ses moteurs avec la BMW Z4 et vient de s’offrir une boîte manuelle) et la GR86 (sœur technique de la Subaru BRZ qui n’est, elle, plus importée en Europe) : cette dernière est un joujou extra offrant un plaisir de pilotage à l’ancienne. Mais la GR86 ne sera malheureusement pas au salon… Qu’elles soient hybrides, électriques ou à essence, les Toyota profitent d’une garantie jusqu’à 10 ans ou 200.000 km !  

bZ4X : enfin un SUV électrique

Toyota franchit le pas du tout électrique, avec ce SUV de 4,70 m, disponible en traction (204 ch) ou avec une transmission intégrale (218 ch). La batterie de 71,4 kW offre jusqu’à 500 km d’autonomie théorique (traction). Le puissance de recharge ne casse rien : 11 kW en AC et 150 kW en DC. Et cette Toyota est nettement plus chère que son clone : la Subaru Soltera…

Discrète Corolla Cross

À côté des Corolla 5 portes et break (qui profitent d’un lifting pour 2023 et d’un gain de puissance), Toyota propose ce dérivé SUV. Il affiche le gabarit d’un Peugeot 3008, mais n’est disponible qu’en hybride « autorechargeable ». Deux versions sont proposées : 140 ou 197 ch. Une transmission intégrale est disponible. La consommation est très basse mais l’ambiance intérieure pas vraiment folichonne.

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